J'avais les mêmes doutes lors de la dernière session que nous avons eue. Mais plus j'y pense, moins c'est un problème pour moi. Laissez-moi vous expliquer...
Ce qui m'a beaucoup aidé, c'est le billet de blog 5 règles simples pour sortir avec mon système de compétences d'adolescente par les angrygm (c'est une longue mais grande lecture. Donnez-lui une chance). Ce qui m'a frappé, c'est Règle n° 2 : Ne lancez un dé que lorsqu'il y a une chance de réussite, une chance d'échec et un risque ou un coût d'échec. . Ne faites un jet que lorsqu'il y a des conséquences. Lorsque les joueurs ont le temps de lancer des conseils, ils doivent pouvoir le faire. Si vous ne voulez pas que cela se produise, mettez-les dans une situation où ils n'ont pas le temps de le faire, par ex.
Rogue : Je vais verrouiller la porte.
Ecclésiaste : Je prie mon dieu pour qu'il aide le voleur à verrouiller la porte. (aka. Guidance)
DM : Bien sûr, vous pouvez le faire. Mais les zombies te chassent. Vous devez vous concentrer pendant une courte période, pendant laquelle ils vous rattraperont un peu. Etes-vous sûr de vouloir faire cela ?
D'un autre côté, lorsque mes joueurs discutent avec un PNJ et que le Voleur déclare qu'il veut l'intimider, j'interdis au Clerc de lancer Guidance. Parce que dans cette situation, cela n'a pas de sens. Le Clerc sait-il que le Voleur veut l'intimider ? A-t-il le temps de lancer Guidance ? C'est la même chose avec l'action Aide. Est-il possible d'aider un autre joueur à enfiler une aiguille ? Si oui, il peut aider. Mais je dirais que ce n'est pas utile. Donc non...
Encore une fois, la colère explique cela d'une manière excellente. Planifiez vos lancers. Chaque jet doit avoir une très bonne raison, sinon laissez-le tomber. Et ensuite vous pouvez décider, dans la situation actuelle, s'il est possible/faisable d'utiliser le Guidage et/ou l'Aide. Au final, si vous les mettez devant une porte fermée et qu'il n'y a pas d'urgence, ils devraient pouvoir prier les dieux et s'entraider. Le problème, c'est que la situation est ennuyeuse et qu'il manque l'urgence et les conséquences. L'orientation et/ou l'aide ne sont que le symptôme, pas le problème.