Il s'agit de situations qui semblent être en dehors des règles officielles (deuxième édition). A moins que quelque chose ne m'échappe.
Supposons que la Russie soit autorisée à attaquer la Norvège au premier tour, et qu'elle le fasse avec deux chasseurs, trois chars (cinq unités qui touchent avec 1-3), et trois unités d'infanterie via la Carélie, contre 1 chasseur, 1 char, et 3 unités d'infanterie. Les cinq unités lourdes obtiennent 1,1,2,3,4, un résultat supérieur à la moyenne qui leur permet de toucher quatre fois. L'attaque peut-elle dire à l'infanterie de NE PAS tirer ?
Si la cinquième unité est éliminée par l'infanterie, la Russie doit occuper la Norvège, ce qui risque d'affaiblir fatalement la Carélie. La Russie a maintenant atteint son objectif de "mitraillage" (le chasseur allemand doit battre en retraite, et le Royaume-Uni peut occuper la Norvège à son tour). La Russie aimerait donc plafonner les frappes à quatre, si cela lui est permis.
Lors de l'attaque de Pearl Harbor, le Japon envoie une flotte de combat contre la zone maritime hawaïenne et obtient deux succès au premier tour. Les États-Unis choisissent de prendre le porte-avions et le chasseur comme pertes (afin que le sous-marin puisse se retirer).
Si le porte-avions a survécu, le Japon peut replier sa flotte sur l'île de Wake, hors de la zone morte hawaïenne. Peut-il faire de même avec un sous-marin qui se retire ? (Les règles disent que la bataille est terminée, et que l'attaquant doit rester sur place, lorsque le défenseur est DÉTRUITS. Mais le sous-marin n'a pas été "détruit").
Ma théorie est que l'attaquant a renoncé à sa prérogative de "poursuite" du sous-marin et a choisi de se retirer après une courte bataille d'un round.